Etymologiquement, Châtenoy vient de château. Il en existait un effectivement, en bordure de Saône, dont on retrouve encore l'emplacement par des dalles de belles tailles. C'était certainement une demeure féodale détruite au cours de la Révolution.
En consultant les archives de Macon, nous avons retrouvé des plans de la commune datant du XVIIIème siècle, intitulés ainsi : Finage du Prieure de Saint Marcel : CHATENOY EN BRESSE
Le commandeur occupait vraisemblablement le château. C'était un chevalier dirigeant une Commanderie, c'est à dire un domaine appartenant à un Ordre Religieux, ici aux Moines de Saint Marcel. Les commanderies étaient généralement attribuées aux frères qui ne pouvaient prendre part à la vie militaire, en raison d'âge ou d'infirmité.
Les lieux dits de Châtenoy portent des noms très évocateurs
"Les Huns" en bordure de la Saône, auraient probablement été foulés par les armées d'Attila, lors de l'envahissement de la Gaule en 451. Ces hordes barbares auraient campé avant de traverser la rivière à gué, pour aborder Crissey, et remonter ensuite jusqu'aux champs Catalauniques lieu de la célèbre bataille. Il parait que des vestiges (fers de chevaux) justifieraient ce passage.
"Le Chezot" partie la plus haute de la commune. D'après Etienne Vernier, sa maison construite en 1909, avait la première marche de l'escalier au niveau du sommet des tours de la cathédrale Saint Vincent deChalon sur Saône.
"La Genetière" devait être un lieu recouvert de genêts
"Chevreterre" nourissait certainement les caprins du pays, en raison de son sol caillouteux.
"Vigne et Champ renard" recevaient la visite des Maîtres Goupil sortant des bois d'Oslon, et l'on y a retrouvé bon nombre de terriers.
"Le Champ Brûlé" avait eu des constructions ravagées par un incendie, car onextrait encore du sol des morceaux de poteries.
"Marsière" possédait des mares, comblées maintenant.
"Vertembeaux" était un lieu de vert taillis. Il reste un des plus beaux sites du pays
HISTOIRE de la MAIRIE
La propriété, le CHATEAU L'ensemble de cette propriété comprenait un grand corps de logis avec un étage et une chapelle, les communs formés d'un important "chalet", une maison de gardien, une orangerie et un parc. Tous ces bâtiments datent environ du XVIIème siècle.
L'ORANGERIE
La CHAPELLE
Cette petite chapelle, dédiée à la Vierge, a été construite en 1692 par Mme BRUNET-DENON. La date est gravée au dessus du porche. Elle est indépendante du château. Elle servait au culte de temps en temps.
Le PARC
Le parc s'étend sur une surface de 7 hectares. Le cadre végétal se compose de plusieurs massifs fleuris, de pelouses et d'environ 800 arbres pour 40 espèces différentes.
Parmi les essences diverses, on peut noter : les chênes Pédonculés, les Frênes communs, les Tilleuls à petites feuilles ; on trouve aussi un arbre rare le Saule Marsault appelé aussi arbre à miel, et quelques variétés peu communes comme le Ginkgo Biloba.
Le CHALET
Il abritait l'ensemble des communs. La façade sud a été conservée et entièrement restaurée. Elle est typique de par l'architecture des boiseries.
Il appartenait à lafamille BRUNET-DENON ainsi qu'une immense partie des terres et prés de la commune. Puis après la révolution, il devient la propriété de la famille CLARET DE FLEURIEU (voir les Familles).
La commune de Châtenoy en Bresse a racheté l'ensemble de la propriété en 1977. Elle a transformé :
- le rez de chaussée du château en locaux pour la Mairie
- le premier étage en logements locatifs
- une partie du chalet en salle des fêtes
- la maison de garde en bibliothèque
- l'orangerie, en très mauvais état, a été détruite pour laisser place à un parking.
Les FAMILLES dans le Château
Le dernier propriétaire du Château a été le Comte Albert de MAZENOD et sa descendance.Il l'aurait acheté, probablement après le décès de sa première épouse (en novembre 1876), à ses parents FLEURIEU qui possédaient en outre les châteaux de Sassangy et Saint Germain Lès Buxy.Les FLEURIEU tenaient Châtenoy des BRUNET-DENON (voir historique de la famille).La chapelle fut édifiée par Mme BRUNET-DENON à la suite d'une vision qu'elle aurait eu d'une de sesfilles décédée à18 ans.Le Comte de MAZENOD a fait construire les deux ailes. Au moment de son décès, il donne à sa fille Catherine la jouissance du château. Elle y est restée jusqu'à sa mort en juillet 1966.Elle se dévoua "corps et âme" aux habitants de Chatenoy. Elle prodigua soins et instruction religieuse.La commune de Châtenoy acheta la totalité de la propriété en 1977.L'ensemble de cet historique nous a été donné par M. le Comte de VARAX qui habite le château de MONTCOY (71).Ce Comte est l'arrière petit-fils du Comte Albert de MAZENOD
HISTORIQUE des FAMILLES
Famille BRUNET-DENONSources : Chaix Dest Ange : Dictionnaire des familles notables françaises Tome 7 page 280Reverend : Titres, anoblissements et pairies de la restauration Tome 1I- "Noble" Jean Baptiste BRUNET, avocat, épouse en 1650 Anne BERTHOT, descendant :II- Paul, avocat au Parlement, pourvu le 18 juin 1682 à l'office de conseiller notaire et secrétaire du roi près de la cour des comptes de Dijon, épouse le 21 janvier 1662 Marie BRUSSON, chalonnaise décédée en 1709, descendant :III- Claude né à Chalon 1685 succède à son père puis secrétaire du roi pour le Parlement de Besançon (1718), épouse en 1714 Anne BARAULT, descendant :IV- Jacques PHILIBERT, écuyer, épouse en 1744 Jeanne DESIR dont 3 fils parmi lesquels l'aîné qui suit :V- Louis Charles BRUNET épouse en 1777 Catherine DENON (soeur de Vivant Denon célèbre graveur, collectionneur et réorganisateur du musée du Louvre, décédé sans alliance). De cette union naissent 3 enfants connus sous le nom de BRUNET-DENON : 1- Vivant Jean (qui suit)2- Vivant Dominique (autorisé par lettres patentes du 15 septembre 1824 à relever le titre de Baron de son oncle maternel Vivant DENON) décédé à Paris en 1845 sans alliance3- Une fille épouse M. BENOITVI- Vivant Jean BRUNET-DENON né à Givry en 1778 décédé à Paris le 13 juillet 1866, Général de Brigade (1814) député de Saône et Loire 1842-1852-1857 crée Baron le 31 décembre 1809.Epouse Elise Rosalie LEFEBVRE décédée à PARIS en 1847, descendants 3 enfants :1- Louise née le 2 janvier 1812 épouse Gabriel Alexandre FRANCOIS Comte DE DURANTI, Député2- Elise (qui suit)3- Thomas Charles, secrétaire né en 1817 décédé à Paris le 17 avril 1854 avant son père sans alliance.VII- Elise BRUNET-DENON, née le 12 juin 1814 et décédée à Paris le 2 avril 1894, épouse Jean Joseph Baron DE LA ROCHE NULLY LA CARELLE, né au château de Julienas (Beaujolais) le 20 juillet1816 et décédé à Sassangy (S et L) le 20 avril 1887, bibliophile distingué auteur de l'histoire du Beaujolais et des vins de Beaujeu (Lyon 1853), descendant une fille unique :VIII- Geneviève Marie VIVANTINE dite VIVA DE LA ROCHE NULLY LA CARELLE, née en 1834 décédée le 29 mai 1921 dansson château de Saint Germain Les Buxy (S et L) toujours habité par des descendants. Elle épouse à Paris le 20 novembre 1863 le comte Edouard CLARET DE FLEURIEU ( né en 1832, décédé en 1886), descendants 2 fils et 2 filles.Ce doit être elle (ou ses parents) qui vendirent le château de Châtenoy au Comte Albert de MAZENOD né à Saint Marcellin (Loire) le 11 mars 1846 décédé à Châtenoy le 24 février 1939. Lors de son remariage le 12 mai 1879 avec Henriette de VIRIEU (auparavant il habitait à Sainte Croix près de louhans chez son beau-père le docteur de Sainte Croix décédé en 1876), alors que son fils Henri habitait la maison de garde, il lègue la jouissance du château à sa fille Catherine décédée à Châtenoy en 1966, qui, sans alliance se dévoua aux habitants de Châtenoy tant sur le service corporel que spirituel en leur prodiguant des piqûres et insctruction religieuse.
HISTORIQUE des MAIRES
Simple hameau de saint Marcel, Chatenoy est devenu commune en 1792, le 15 décembre par décret du Président du Directoire du District de Chalon sur Saône, M. Deschamps. Depuis cette date, les Maires qui ont présidé aux destinées de la commune sont :
COINTOT Vivant, BOUDRAUD Claude, LEPROUX Claude, COURSOT Pierre,SOUSSELIER-VITTE Gabriel, PROST Pierre, JACQUET Jacques, PROST Louis, TRICAULT François, RIAUX Marcellin, GRANGES Jean, BRONDEAU Pierre, FLATOT François, PICARD Nicolas, VERNIER Etienne, GANDRIAUX Louis Marcel, BONOTTE Etienne, VERNIER Pierre, GIBOURG René, BRENOT Raymond
Histoire de l'école
Nombre de classes à Châtenoy :
1880 à 1958 : 1 Classe
1958 à 1969 : 2 classes dont la section enfantine (1 classe dans l'école et 1 dans un préfabriqué)
1969 à 1970 : 3 classes (1 classe dans l'école et 2 dans le préfabriqué)
1970 : nouvelle école primaire
1970 à 1975 : 3 classes primaires dont la classe de CP avec la section enfantine
1975 : création de la classe maternelle
1975 à 1986 : 3 classes primaires et 1 classe maternelle
1986 à 1992 :2 classes primaires et 1 classe maternelle
1992 à 1996 :2 classes primaires et 12 classes maternelles
1996 à 1998 :3 classes primaires et 1 classe maternelle (le CP accueille la grande section maternelle
1998 :nouvelle école "Jacques BREL" avec une section maternelle "Les p'tits loups"
3 classes primaires et 2 classes maternelles
Décision de créer une salle informatique avec un emploi-jeune
Novembre 1999 : Mise en fonction de la salle informatique
Noms des Instituteurs :
Ecole Maternelle
Arrivée |
Départ |
NOM |
1975 |
1976 |
Melle GUERIN |
1976 |
1998 |
Mm GAUDILLAT Lucette |
1980 |
1981 |
Mme APAOLOZA Sylvie |
1982 |
1983 |
Mme DAUXERT |
1987 |
1988 |
Mme MORLAC |
1988 |
1992 |
Mme PRETET |
1992 |
? |
Mme DRILLIEN Christian |
1995 |
1997 |
Mme VERDIN Christine |
1992 |
? |
Melle ROLLET Anne Marie |
1992 |
1996 |
Melle LUCAND Sophie |
1997 |
1999 |
Mme CADENNES Isabelle |
1998 |
Mme PELLETIER Pascale |
|
1998 |
2007 |
M. BOIVIN Michel |
1999 |
? |
Melle DEVAUX Marie José |
2003 |
2004 |
Melle PELLETIERNadine |
2004 |
2006 |
M. PERE Stéphane |
2006 |
2008 |
Melle JOBARD Aurélie |
2007 |
Melle Cécile SHOEDER |
Suite des Instituteurs de Châtenoy
Arrivée |
Départ |
NOM |
1880 |
1885 |
M. RATEAU Jean-Marie |
1885 |
1886 |
M. BROYER |
1886 |
1893 |
M. GUILLOT Denis |
1893 |
1895 |
M. LALOGE Sébastien Eugène |
1895 |
1922 |
M. DOUIN Victor |
1922 |
1924 |
M. BONIN Georges |
1924 |
1925 |
Mme HUSSON Marie Antoinette ou TACHON |
1925 |
1932 |
Mme BICHON Jeanne Alice |
1932 |
1957 |
Melle GOUX |
1957 |
1958 |
Melle ALBERTINI |
1957 |
1958 |
Mme LEBON |
1958 |
1959 |
Mme VAGINET |
1959 |
1960 |
Mme FERRAND |
1958 |
1963 |
Mme ATTAL |
1960 |
1983 |
Mme BOIREAU |
1963 |
1983 |
Mme SACHETAT |
1969 |
1991 |
Mme BACHELET |
1975 |
1998 |
Mme GAUDILLAT |
1983 |
1986 |
M. LIENARD |
En consultant les registres de la commune, nous avons pu obtenir certains renseignements sur l'école.
17 mai 1876 La décision de construire une maison d'école est prise. Les raisons de cette décision sont importantes pour connaître le vie de la commune.
Août 1876 Nomination d'un architecte
21 janvier 1877 Présentation des plans et devis. Le financement se fera sur : fonds libre de la caisse communale, emprunt, demande de subvention d'état.
15 janvier 1877 Dépense totale évaluée à 18 900 F
17 mai 1877 L'administration a ordonné plusieurs modifications. Il faut refaire le plan et le devis.
Avec l'école à Châtenoy se pose le problème de la gratuité scolaire ou non.
28 avril 1878 "Le Conseil Municipal fera tous les efforts pour satisfaire les besoins des habitants dans la mesure des ressources communales.
Suite au vote de la gratuité scolaire de la commune de Saint Marcel, le sous-Préfet demandait de voter cette gratuité. Mais Châtenoy devant se séparer de Saint Marcel pour l'instruction scolaire, à l'unanimité, le Conseil Municipal refuse de voter la gratuité absolue de l'instruction primaire"
29 avril 1877 Construction ajournée pour un temps très court, en vue de réunir les ressources nécessaires à la dépense.
20 juillet 1879 Plan et devis pour une maison d'école de 16 800 F. Le financement est prévu.
Août 1880 Vote de 150 F pour l'inauguration de la maison de l'école.
1er novembre 1880 Installation de M. RATEAU Jean-Marie instituteur diplômé d'un brevet complet pour l'enseignement primaire, venant du Creusot.
14 décembre 1880 L'inspection primaire demande une poste de Maîtresse de couture.
Février 1881 La commune entretiendra en 1882 une école mixte, Taux rétribution scolaire : 15 F par an pour les élèves abonnés et 2,5 F par mois pour les non abonnés de l'école mixte. L'instituteur aura 200 F pour 10 élèves gratuits.
10 Février 1881 Assurance de la maison d'école
5 juin 1881 Les frais de construction s'élèvent à 17 753 F. Vote d'un emprunt de 2 600F sur 10 ans.
5 avril 1883 Les frais de construction s'élèvent en fait à 17 749,45 F. Versement de 2 749,45 F solde des travaux de la maison de l'école.
16 avril 1885 Installation de M. BROYER instituteur venant de Saint Yshaire. Mme BROYER née Philomène CAMBAZARD, épouse de M. Broyer est nommée maîtresse de couture, Mme CORNIER ayant quitté la commune.
2 août 1885 Décès de Mme BROYER, son salaire de 20 F continuera d'être versé à son mari.
Mai 1886 Les travaux d'aiguilles sont confiés à Mme ? née Rosine BESSON
26 septembre 1886 Installation de M. GUILLOT Denis instituteur venant de Crèches
Octobre 1890 Les travaux d'aiguilles sont confiés à Mme GUILLOT née Claudine GILLET
10 octobre 1893 M. GUILLOT est nommé secrétaire de mairie Installation de M. LALOGE Sébastien Eugène, instituteur, Mme LALOGE née Jeanne Louise BEAUJARD devient directrice des travaux àl'aiguille.
7 janvier 1894 Le Ministre de l'instruction publique propose que dans les écoles mixtes les instituteurs soient remplacés par des institutrices. Réponse : "Depuis 1880 seulement la commune possède une école mixte dirigée par un instituteur, ce fonctionnaire est plus apte...qu'une institutrice" Le Conseil demande le maintien d'un instituteur et d'une Maîtresse de couture dont il assurera le traitement.
1 février 1895 Installation de M. DOUIN Victor venant du Creusot. Maîtresse de couture Mme DOUIN née Julie BOURGEOT.
16 février 1895 M. LALOGE partant, M. DOUIN devient secrétaire de Mairie.
15 août 1898 Le Conseil es appelé à faire connaître s'il désire conserver l'instituteur actuellement chargé de l'école mixte ou si au contraire il consent à ce qu'une l'institutrice y soit nommée. Le Conseil renouvelle la délibération du 7 janvier 1894 et "demande qu'il ne soit rien changé à l'état des choses existant."
Attribution de 15 F pour la bibliothèque scolaire et autorisation à l'instituteur à ouvrir une souscription publique au profit de la dite bibliothèque. Vote de 5 F pour 2 élèves à titre de récompense et d'encouragement. Jean-Pierre BOULEY et Marguerite PAGE ayant réussi le certificat d'étude primaire et un diplôme d'études agricoles et d'économie domestique.
13 novembre 1898 Vote de 10 F pour l'enseignement du travail manuel.
8 février 1899 pendant l'hiver 1898-99 M. DOUIN a organisé un cours adultes fréquenté par la plupart des jeunes gens de plus de 13 ans. Vote de 60 F à M. DOUIN qui a pourvu au chauffage et à l'éclairage de la salle.
2 juin 1901 Gratification de 70 F pour M. DOUIN secrétaire de Mairie depuis 6 ans avec beaucoup de zèle et concours actif et désintéressé dans plusieurs circonstances : bornage, entretien des pâturages communaux.
20 janvier 1905 Décision de la construction d'un mur de clôture et d'un préau couvert à la maison communale. Financement 2 000 F disponible et 4 000 F d'emprunt.
15 août 1908 Construction d'une buanderie et d'un poulailler dans la cour de l'école (dépense supérieur à 300 F).
1er mai 1922 Installation de M. BONIN Georges instituteur venant de Givry. Mme BONIN née Marie GAUTHRAY est nommée maîtresse de couture
9 juillet 1922 M. DOUIN part, M. BONIN devient secrétaire de Mairie.
12 novembre 1922 Fixation de 6 jours de vacances pour l'année scolaire 1922-23, 5 jours pour la fête de Noël et jour de l'an + le 14 juillet. Chaque année ces jours de vacance sont reconduits à l'identique sauf le 14 novembre 1929 : 4 jours pour Noël et jour de l'an + le jour de mardi gras + le jour de mardi de pentecôte.
15 novembre 1923 Le Conseil Municipal adhère au service de l'inspection médicale des écoles à condition que cette contribution communale de 1,25 F par élève ne soit pas dépassée.
8 août 1924 Démission de M. BONIN de sonposte de secrétaire de Mairie, il ets remplacé par M. GUEY secrétaire de Mairie de Saint Marcel.
25 novembre 1924 Installation de Mme HUSSON née Marie-Antoinette LEMONDE, institutrice et maîtresse de couture.
29 septembre 1925 Installation de Mme BICHON Jeanne-Alice, institutrice venant du Planois.
7 novembre 1925 Mme Bichon assurera ainsi la fonction de maîtresse de couture.
29 juin 1929 Emplacement d'une lampe électrique dans la cour de l'école avec allumage en dehors.
Installation de Melle GOUX date inconnue
8 février 1950 Melle GOUX ne veut plus assurer le balayage de la classe
20 avril 1950 Nomination d'un balayeur de classe : M. MENAND Jean, Garde Champêtre, pour un traitement annuel de 2 000 F.
4 décembre 1951 Enlèvement du garage de Melle GOUX et restitution du préau aux écoliers.
16 mars 1956 Construction d'un mur dans la cour de l'école.
A la rentrée 1956, la majorité des parents envoie leurs enfants à Saint Marcel, ils sont en conflit avec Melle GOUX.
Pour financer le transport en car à Saint Marcel, l'association des Amis de l'école s'est crée. Cette association existe toujours avec des objectifs différents.
1er octobre 1957 Mme CHAUMONT née Jeanne PATIN est chargée du balayage pour 2 500 F par mois sur 10 mois.
21 février 1957 Demande de subvention exceptionnelle de 100 000 F du bureau de l'association des amis de l'école pour organiser une kermesse au profit de ses oeuvres courant juin 1957. Subvention accordée.
20 novembre 1958 Décision d'acquérir une école en pré-fabriqué et le matériel d'enseignement correspondant. Financement emprunt de 2 500 000 F sur 20 ans à partir de 1959, école pré-fabriquée 2 062 000 F, Equipement du local 438 000 F
Novembre 1958 Installation de Mme VAGINET institutrice de la petite classe.
19 décemnrer 1958 Mme VAGINET demande une indemnité de logement. Elle doit loger chez un particulier, la commune n'ayant pas de logement disponible. Accord pour 25 000 F par an.
1er septembre 1959Mme PERRUSSON-TOURDOT Rose est chargée du balayage pour 5 700 F par mois sur 12 mois.
10 octobre 1959 Décision de principe de la construction de logement pour instituteurs : aménagement des combles de l'école, avec demande de prime de construction.
10 octobre 1961 Mme MORAIN PERRAUT Monique est nommée balayeuse de classes et de mairie pour 57 nouveaux francs par mois sur 12 mois.
Installation de Mme FERRAND puis de Mme ATTAL à u